MOYEN ORIENT
Israël et les pays arabes : le retour en Afrique par la porte du Maroc 🌍✡️🤝🕌
L’histoire oubliée
Il fut un temps où Israël et plusieurs pays arabes entretenaient déjà des liens avec l’Afrique. Coopérations agricoles, échanges commerciaux, solidarité politique… Mais les vents de la guerre et des rivalités idéologiques ont, au fil des décennies, fermé ces ponts. Beaucoup sortirent du continent par des chemins détournés, laissant derrière eux des traces effacées.
Le Maroc, carrefour de retour
Aujourd’hui, l’histoire reprend son cours. Le Maroc, avec ses Accords d’Abraham et sa diplomatie équilibrée, s’affirme comme le carrefour du retour.
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Pour Israël, le Royaume chérifien est une porte africaine stratégique, un pont entre Méditerranée, Atlantique et Sahara.
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Pour les pays arabes, le Maroc est un frère, mais aussi un modèle de stabilité, d’investissement et d’ancrage africain.
Ainsi, l’Afrique ne se divise plus entre influences étrangères : elle redevient un espace de rencontre et de construction commune.
Le Sahara comme horizon partagé
La reconnaissance de la marocanité du Sahara par plusieurs partenaires arabes et l’ouverture de consulats à Dakhla et Laâyoune montrent la force de cette dynamique.
Pour Israël comme pour les pays arabes, le Sahara n’est plus un “bout du monde”, mais le cœur d’un nouveau monde :
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Plateforme commerciale reliant l’Europe, l’Amérique et l’Afrique.
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Espace d’investissements dans les énergies renouvelables, la logistique et le tourisme.
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Territoire symbole, où l’histoire et l’avenir se croisent.
Des investissements qui relient
Les perspectives sont déjà visibles :
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Israël apporte son expertise en technologies agricoles, eau et innovation.
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Les pays du Golfe investissent massivement dans les infrastructures, l’énergie et la finance.
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Le Maroc, lui, assure l’ancrage africain et la légitimité historique.
Ensemble, ils forment une triangulation inédite : Maroc – Israël – pays arabes, tournée non vers la domination, mais vers la construction.
Une nouvelle page
L’Afrique est une terre de mémoire. Elle n’oublie ni les départs, ni les retours.
Aujourd’hui, Israël et les pays arabes y reviennent, non par la force ni par l’ombre des rivalités, mais par la lumière des partenariats.
Et à la porte de ce retour, il y a le Maroc, gardien du Sahara et bâtisseur d’avenir, offrant à ses partenaires une place autour de la même table.
Les pays arabes du Golfe : retour en Afrique par le Sahara 🌍🕌💎
Le désert comme mémoire partagée
Les pays arabes du Golfe connaissent bien le langage du désert : vents brûlants, dunes mouvantes, immensité sans fin. Mais ce désert du Sud marocain, le Sahara, n’est pas un simple miroir du leur : c’est un espace d’histoire et d’avenir.
Longtemps, l’Afrique fut une terre lointaine pour les monarchies du Golfe. Elles y sont arrivées par la fenêtre des pétrodollars, cherchant influence et prestige. Mais cette approche n’a pas toujours fonctionné : trop verticale, trop fragile.
Le retour par la porte
Aujourd’hui, c’est une autre logique qui s’impose. Les pays du Golfe reviennent en Afrique par la porte du Maroc.
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En reconnaissant la marocanité du Sahara.
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En ouvrant des consulats à Dakhla et Laâyoune.
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En choisissant le Royaume comme partenaire africain stratégique.
Ce retour est officiel, diplomatique, clair : il s’agit de bâtir ensemble, et non d’imposer.
Des investissements massifs
Le Sahara devient le terrain concret de cette coopération nouvelle :
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Énergie : investissements dans le solaire, l’éolien et bientôt l’hydrogène vert.
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Immobilier et tourisme : projets hôteliers et stations balnéaires dans la région de Dakhla.
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Finance : fonds d’investissement du Golfe injectés dans les banques marocaines présentes en Afrique.
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Logistique et commerce : plateformes reliant ports marocains et marchés africains.
Les pétrodollars d’hier se transforment en capitaux d’avenir, avec le Maroc comme garant de stabilité et d’efficacité.
Le Maroc, clé africaine du Golfe
En réalité, les pays arabes savent que l’Afrique est trop vaste pour être abordée seuls.
Le Maroc, grâce à sa position géographique, sa présence économique et sa stabilité politique, devient leur clé d’entrée sur le continent.
Il n’est pas un simple allié : il est un passeur, un catalyseur, un frère africain et arabe à la fois.
une maison habitée
Les pays du Golfe reviennent en Afrique, mais cette fois-ci par la grande porte, en passant par le Maroc et son Sahara.
Et en entrant, ils découvrent que la maison n’est pas vide : elle est déjà habitée, construite, animée.
Le Maroc y tient sa place, solide et central, prêt à accueillir ses frères du désert — mais sur un pied d’égalité, dans un projet partagé.




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